1. Libre et volontaire
Le consentement doit venir de chacun·e de façon libre, sans pression, manipulation ou intimidation. Personne ne devrait se sentir forcé·e ou obligé·e.
2. Clair et enthousiaste
Pour être valide, le consentement doit être donné de manière explicite et positive. Un simple «oui» enthousiaste est idéal, et il est important d'éviter d'interpréter le silence ou l'hésitation comme un «oui».
3. Informatif
Le consentement doit se faire en toute transparence. Chaque personne doit savoir ce qui est impliqué dans l’acte pour pouvoir faire un choix éclairé. Cela inclut la discussion de sujets comme les pratiques sexuelles, les contraceptifs, les infections sexuellement transmissibles et par le sang (ITSS) et les préférences
4. Réciproque et mutuel
Il est essentiel que le consentement soit donné des deux côtés, et qu'il y ait une communication constante pour s'assurer que chacun·e est toujours à l’aise. Les désirs et les limites de chaque personne comptent, et ces limites doivent être respectées.
5. Réversible
Le consentement peut être retiré à tout moment. Même si l’acte a déjà commencé, toute personne a le droit de dire «stop» si elle ne se sent plus à l’aise. C’est fondamental de respecter cette décision immédiatement.
Avoir des relations respectueuses implique aussi de s’assurer de la capacité de chacun·e à consentir. Par exemple, une personne sous l’influence de l’alcool ou de drogues, endormie, inconsciente ou une personne mineure, peut ne pas être en mesure de donner un consentement valide.

Le consentement entre hommes? Oui.
Parce que le consentement entre hommes, #ÇaExiste, RÉZO lance une campagne de communication et de sensibilisation sur le sujet